Seconde Responce De Iacqves Bon-Homme, Paysan De Beauuoisis : a Son Compere Le Crocheteu
The book Seconde Responce De Iacqves Bon-Homme, Paysan De Beauuoisis : a Son Compere Le Crocheteu was written by author Bonhomme, Jacques Here you can read free online of Seconde Responce De Iacqves Bon-Homme, Paysan De Beauuoisis : a Son Compere Le Crocheteu book, rate and share your impressions in comments. If you don't know what to write, just answer the question: Why is Seconde Responce De Iacqves Bon-Homme, Paysan De Beauuoisis : a Son Compere Le Crocheteu a good or bad book?
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ce. deiloyal Gafcon. Celan'eftantaduenii grâces a Dieu , ie n^e confolç de ce qu^, rpa lettre de laquelle tvvas efte porteur a n*a efté femçe parmy le publie^ las auoir rapporté quelque vtile profiç. Mçfmes auoir tellenient charmé les oreilles de Meffieiirslesabfentezsqu^il fe fontda toutrefolus de n'endurer aucun coup d'eftoc ny de taille^û ce n'eft pour lefer- uice de leur RGy,&: de leurs Maiftrefies eftant en délibération de donner librç paffageàvîiçquantitédç mangeurs df 5 ^^^ culs de poule...s, &d'aualeursdevinfans chable , qui onc feruy de boute feu à ces vaines entreprifes, le luis d'aduis qu'ils remeccêt leurs armes aux râteliers, d au- tant que l'huille efl: trop chère celle an- née pour les defroûiller. Et qu'ils attê- dentà^nemeilIeurèoccafion,pourrê- dre feruice à fa Majefté. Et fi les mains leur démangent par trop, àcaufe delà chaleur de l'Efté qui s'aproche, qu'ils les ^ilçntlaueren la mer glacialle & n'en reûiennétiufquesâcequele grâd père 4e mon bifayeulles aille quérir, Se lors qu'ils auront pris congé de leurs Capi- taines, Meffieurs les abfentez reuien- dronc s'il leur plaift, reprendre poceffiô des beaiitez qui leur fouloient eflre aç- quifesparieurbeneuolence dont de pe- tit abrégé du mode efl: toutremply : Tu -memandebienCompere le retour in- certain defes Seigneurs , ^ tien du bon traittement qu'ils tôt fait.ny quel a efl:é - ton paiTe- temps pendânroisou quatre ipurs que tu as feiournéauee eux , t'ont il fait boire gros comme le braSjiem'af- feure que nô , 6^ qu'il t'ennuioit de faire làvnûlongfejour, n'eftantpas en ton luflre comme tu fouîois eitre auec tes A 3 6 iadis fubieas de la Samaritaine ^iuee lefquels tu buuois , tenant lé petit noor- ccâu de fromage de Milan, où le falé en h main, affis fur tes aides renuerfecs à la porte de quelque cité renommée, com- me Venite des fauxbourgs S.
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